Pensionnat Monty
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Pensionnat Monty

C'est peut être votre dernière chance.
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -20%
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, ...
Voir le deal
399 €

 

 Jenny Lockart ~

Aller en bas 
AuteurMessage
Jenny Lockart
Fondatrice. ~
Jenny Lockart


Messages : 140

Qui suis - je ?
Age: 15 piges
Maladie: Pyromane ~
Bracelet: Jaune

Jenny Lockart ~ Empty
MessageSujet: Jenny Lockart ~   Jenny Lockart ~ EmptyDim 4 Sep - 13:26

LOCKART JENNY





Tu as déjà la tête en feu ? Non ? Tu veux essayer ?

15 ansÉchecPyromanie


Rien que de penser à ce truc ça m'énerve. J'en ai marre que les gens pensent que je suis pas normal. Et quand on parle de Monty, ben ça me fait évidemment penser à ce que les gens pensent de moi. Bon après, il est classe, ouais j'aime assez les décors, ou même les options qu'il y a dedans. Mais je l'aimerais mieux si il n'y avait pas ce mot qui va avec : Psychologue...


En profondeur

Description psychologique :

Ah, il y a tellement de choses à dire sur Jenny. Mais je pense que le point qui ce fait le plus remarquer sur elle, c’est son côté “dans les vapes“. C’est vrai qu’elle oublis souvent de choses. Que ce soit quelque chose qu’elle doit faire ou bien quelque chose qu’on lui a dit, elle ne se souvient pratiquement jamais de rien. Ou bien peut-être qu’elle veut ne pas s’en souvenir… Il peut arriver qu’on lui parle, mais qu’elle ne réagisse pas, ou bien qu’elle ne remarque même pas qu’une autre personne se trouve dans la même pièce. Ah oui, il lui arrive d’être somnambule. Comme tout somnambule, elle ne se souvient de rien à chaque fois.

Jenny n’aime pas être sociable. Enfin, plutôt, elle n’aime pas vraiment les gens. Bien sur, il y a quelque petite exceptions. Mais je ne saurais dire quels critères il faut pour faire partie de ces exceptions. Ce n’est même pas qu’elle n’est pas sociable, c’est simplement que si elle pouvait éviter d’avoir affaire aux autre personne qu’elle croise, elle aimerait mieux, mais sinon tans pis. Bon, on va pas dire qu'elle déteste les gens dès le premier coup d’œil, mais la solitude c'est quelque chose qu'elle aime bien. Elle aime bien aussi ce servir des autres. Surtout si celui là l’a cherchée, ou bien même offensée. Imaginez la scène. Un croche-patte par erreur, qui ferait tomber Jenny. Celui-ci s’excuserait surement, mais elle n’en aurait rien à faire. Soit elle se mettrait à le poursuivre prête à lui taper dessus, soit décider de le faire tourner en bourrique. Changer d’humeur à n’importe quel moment, ou de comportement. Tout cela la fait bien rire. Mais elle pourrait très aussi le faire souffrir…

Car Jenny aime faire souffrir. Mais pas n’importe comment, avec le feu. Même sans souffrance, voir du feu, ou le toucher la fascine. C’est ce qu’on appelle cette maladie « pyromane ». Oui, Jenny est pyromane. Elle, elle ne s’en rend pas compte. Pour elle, c’est normal d’avoir envie de voir du feu, de ressentir le besoin de respirer la fumée. Elle refuse de croire les personnes qui lui en parlent. Il est difficile de cerner Jenny. Elle est compliquée. D’un côté elle aime le feu, ce qui nous fera plutôt penser à un côté viril. Pourtant, elle se comporte de manière très… cul-cul. Ou de manière plus polie "grande gamine". Sautiller en pleine rue pour aller chercher du pain, regarder des vieux films, qui rejoignent son comportement cul-cul. Ah oui, et bien sur comme toute grande gamine qui se respecte, Jenny fait souvent les 100 coups. Vous vous souvenez du passage où il disait qu'elle était très dans les vaps ? C'est en partie dû à ça. C'est-à-dire, sans faire exprès. Une gaffe si vous préférez.

Bref, Vous l’aurez donc compris, Jenny est une fille pyromane qui est grande gamine et pas réellement sociable. Voilà donc pourquoi il est assez difficile de la cerner. Je dirais même que c’est impossible. Ah, un dernier petit point intéressant, elle déteste les couples. Les voir lui donne envie de vomir. Jamais elle n’imaginera se mettre en couple. Essayez donc de lui plaire, je vous laisse imaginer la suite…


Description psysique :

Jenny s’est toujours fichue de son apparence. Qu’on la trouve belle ou non, qu’importe pour elle. Cependant, rien n’empêchera qu’elle le soit. Elle possède un jolie visage, même s’il existe plus beau certes. Des yeux bleu turquoise ou bien bleu marinent, tout va dépendre de la luminosité. Un nez fin, ainsi qu’une petite bouche sur son visage, enfin rien d’exceptionnelle vous me direz. La forme de son visage est plus ou moin ronde, ou plutôt devrais-je dire ovale. Ce qui va lui donner une petite expression de petite fille. On pourrait facilement la confondre avec une petite fille de 11 ans. Non non, je n’exagère pas. Il est vrai que Jenny à toujours cette petite expression sur son visage, qui fait que la ressemblance avec de jeunes filles est réelle. Cette expression, je pense qu’elle est assez difficile à définir. Peut-être est-ce la façon dont elle sourit, ou bien ses yeux qui trainent toujours de partout. Bref, ne nous étendons pas sur le sujet.

Ses cheveux sont de couleur roux. Ils sont soyeux, et doux. Ils sont fins, et se baladent toujours sur son visage. Vous trouverez souvent Jenny en train de replacer sa mèche par-ci par là, mais cependant, jamais avec les cheveux attachés. Elle déteste ça. Elle trouve que ça ne lui vas pas. Les seuls moments ou peut-être une queue-de-cheval pourrait bien apparaître, ce serais le soir. Quand personne ne la voit, et qu’elle va se coucher. Pourtant, à part ça, jamais elle ne ce soucis si elle est bien coiffée, ou bien même des vêtements qu’elle porte.

Parlons donc de ses vêtements. Ça aussi elle s’en fiche, comme je l’ai dit juste avant. Si un jour elle venait à porter une salopette jaune avec des chaussures couleur violette, eh ben pourquoi pas. Ou bien même un tee-shirt avec des nounours rose et un fond vers avec un pantalon rouge, eh ben pourquoi pas. Bref. Jenny mesure dans les environs des 1mètre 55. C’est plutôt petit pour son âge, mais tant mieux, car elle n’aime pas être grande. Pouvoir voir tout le monde de haut, elle préfère largement lever la tête que la baisser. Quant à son poids, elle l’ignore. Elle ne s’est jamais pesée à vrai dire. Ce serais bien la dernière chose à laquelle elle ferait attention. Elle sait qu’elle n’est ni grosse, ni maigre. Alors pourquoi se priver ?


Son histoire :

Tout n’est partie que d’une si petite flamme. Tout n’est partie que seulement cette petite idée. Pourtant aujourd’hui, il ne reste plus rien. Tout est désert à présent. Tout a été cramé, bruler, carboniser et même détruit. Tout ça, fait par une seule personne. Une petite fille. Ces personnes tués, et cette maison détruite n’existe plus à présent. Tout ça, à cause de moi.

Remember…

Je suis née un matin de décembre. Il faisait froid ce jour là, d’après ce que mes parents me disaient. Car oui, vous vous en doutez, je ne m’en souviens pas. Pourtant, je connais tout les moindres petits détails de cette journée. Quand il m’on racontés ces 24heures là, qui fut apparemment tellement belles pour eux de m’avoir mis au monde, j’avais 5 ans. Je m’entendais merveilleusement bien avec mes parents. J’avais toujours de très longues discutions avec eux, et je pouvais restée des heures à leurs côté, même si petite. Ils me disaient qu’ils étaient très heureux le jour où ils ma mère accouchait. J’étais en effet leur premier enfant. Ils ne perdaient pas le sourire une seconde, car rien ne pouvait leur enlever.

Je suis restée fille unique seulement jusqu’à l’âge de 5 ans. Ma première petite sœur est venue au monde une après midi d’avril. J’étais moi-même très contente. L’idée d’avoir une petite sœur, de partager des moments de bonheur, enfin bref, cette idée me réjouissais, c’est tout. J’ai toujours eu une enfance très banale. Enfin, jusqu’à ce que petit à petit, mes parents fassent naître chaque années un nouvel humain. Tout ce monde, au fur et à mesure que le temps passait, tout ça commençait à être de plus en plus pesant. Et puis, doucement, je commençais à me faire oublier.

Je commençais alors à devenir de moin en moin sociable, dans le sens où mes parents faisaient comme si je n’existais plus, cela me rendait réellement folle. Si nous faisons alors le compte en tout, j’avais normalement 11 frères et sœurs. Mais mes parents ont fait une pause apparemment –enfin encore heureux... Ce qui me fait donc 7 frères et sœurs. Dont trois frères, et deux sœurs. Comment je m’entendais avec eux ? Ben en fait, je ne leur parlais pas. Je m’en fichais. Je vivais ma vie sans leur parler, ou bien sans créer d’affinités avec eux. De toute façon je n’en voulais pas. Pour moi, c’est comme si ils m’avaient trahis, sans que ce soit réellement leur faute. Non c’est vrai, finalement, les personnes à qui je devais en vouloir, c’était bien mes parents. Et ça, ça me faisais vraiment mal au cœur de me l’avouer. Personnes n’aiment détester ses parents. Surtout quand ils les aiment. Et justement, c’était mon cas.

Pour ce passage que je vais vous racontez, vous pourrez penser que c’est un passage tellement banale. Enfin, rien d’exceptionnel. Pourtant pour moi, c’est ce moment de ma vie qui changera alors toute ma vie. C’était une nuit de juin. J’avais 10 ans. Et je pense qu’il était même tard pour me découvrir ça. Bref. Nous étions tous debout, alors qu’il était pourtant tard. Je ne rappelle pas de l’heure, mais le soleil c’était couché, et la nuit noire était tombée. Pourquoi nous n’étions pas en train de dormir ? C’est juste parce que ce soir là, c’est quelque chose qui nous a réveillé. Et moi la première. C’est normal, ça s’est passé dans ma chambre. A l’âge de 10 ans, savez-vous ce que c’est que du feu ? On ne sait pas exactement, la seule fois où on en voit, c’est dans une cheminée, et assez vite fait …

Cette nuit là, il y avait le feu dans ma chambre. Vous allez me dire, mais pourquoi ? Je n’en sais rien. Je ne sais ni pourquoi c’est arrivé, ni comment. Tout ce que je sais, c’est qu’il était là. Non je ne rêvais pas, je n’ai pas été la seule à le voir. Je me suis réveillée, j’ai entrouvert un œil, avant de remarquer une petite lueur qui brillait. C’était évidemment inhabituel. Voilà pourquoi très vite, j’ouvrais les deux yeux, plongeant mon regard dans la mini flamme. Je ne le faisais même pas exprès, j’étais tout simplement emportée par cette petite lumière qui devenait de plus en plus grosse.

Très vite, le feu commençait à prendre de plus en plus d’importance dans la pièce. Et il commençait justement à faire du bruit. Moi, je l’écoutais ce bruit. J’entendais les craquements de bois, tout en observant la beauté de la flamme. J’étais comme prise au piège, ne pouvant même plus bouger, absorbé par ce feu. Plus il grandissait, plus ça faisait du bruit. Logique non ? En tout cas, assez pour mes parents finissent par se réveillés, accompagnés de mes 7 frères et sœurs.

Ils étaient rapidement tous regroupés dans ma chambre. Certains en cris, d’autres en pleures ou encore le reste en panique. J’ai nommée le reste, mes parents. Dès qu’ils mirent un pied dans ma chambre, ils se précipitèrent à pas rapide vers le centre d’intérêt. Ou plutôt, mon père. Quant à moi, je n’avais à peine remarqué leur présence, appuyée sur mon coude, toujours en train de fixer cette lumière dans le noir qui avait l’air de tellement m’intéresser. Bref. Il prit la première veste ou vêtement avant de couvrir le feu avec celui-ci. Quand tout le monde fût calmés, et que plus rien ne brulait, j’avais repris mon état normal. Mais j’avais découvert pour la première fois moi, la beauté du feu.

Suite à ça, mes frères et mes sœurs repartirent se coucher, l’esprit un peu chamboulé. Quand à mes parents, ils sont restés pendent un court moment dans la pièce qui me servait pour dormir. Je me souviens de tous les mots qu’ils ont prononcés ce soir là. Il y en avait peu, mais c’était largement suffisant pour connaitre exactement le fond de leur pensé. Sur un ton d’agression, et de colère, sans pitié et avec froideur, mon cher père me lâcha cette si belle phrase :

« Non mais ça va pas ?! Foutre le feu dans ta chambre ? Non mais tu débloque complètement. On n’a pas que ça à faire de d’éteindre des feu Jenny ! La prochaine fois que tu dérape, on te met dans un pensionnat. »

Sympathique non ? Quant à ma mère, elle se contenta de prendre mon père par l’épaule pour lui dire de se calmer et qu’il fallait se coucher ; sans m’adresser le moindre petit regard ou même un simple “bonne nuit“. Je ne pense pas que mes parents ne m’aimaient pas. Je pense simplement qu’ils en avaient marres d’être déborder. En tout cas, je l’espère. Mais ce n’était pas une raison pour réagir comme ça. Enfin, scène basique vous me direz.

Je l’avais très mal pris. Peut-être que ça y est, oui ils avaient enfin fait attention à moi, mais pour moi, il n’était pas question que ça se passe comme ça. Je ne leur parlais plus, que se soit pour dire bonjour ou bien pour demander le peau de moutarde, plus un mot de ma bouche ne sortait pour eux. Pourtant, ils ne remarquaient rien. Joue après jour, ignorance totale, et aucune réaction. Ca commençait à faire. Je n’arrêtais pas de repenser à ce jour où j’avais vue ce feu. Cette soirée tournait sans cesse dans ma tête, et la chose à laquelle je pensais le plus, c’était de faire payer mes parents.

Ça y est je l’ai fait. Oui, je me suis vengée. C’est allé vite, très vite. Et tout n’est parti que d’une si petite flamme. La maison à cramée. Entièrement. Et pas seule. Ma famille était à l’intérieur ce jour là. De dehors, j’essayais de m’imaginer la scène. Si ils soufraient ou non. J’avais cette petite boule dans le ventre, qui faisait dire à cette petite partie de moi que je regrettais. Mais quand je regardais le feu, l’autre partie ne pouvait pas s’empêcher de dire que j’adorais ça.

Une fois le carnage finis, je ne me reconnaissais pas. Je venais de me rendre compte que j’avais tuée tout ma famille. Mais quand je l’ai fait, j’étais comme… hypnotisée. Je ne pouvais m’empêcher d’avancer et de faire cramer. Je ne contrôlais plus. C’est impossible d’arrêter ce que je faisais. Bien, vous l’avez surement compris, j’ai été à partir de ce jour orpheline, bien que deux partie de moi se disputaient pour savoir qui a raison. Ensuite, vous imaginez bien, bien sur que oui on m’a traitée de “pyromane“. Mais moi je n’y crois pas. Je n’y croyais pas, et n’y croirais jamais. Je suis quelqu’un de normal. Je reste chaque jours persuadée que tout le monde auraient fait comme moi. Pourtant, on m’a envoyés dans un pensionnat. Le pensionnat Monty, où apparemment serait un pensionnat pour des gens ayant des maladies. Mais qu’est-ce que je fou là bas moi ? Mais de quels droits ? Je ne suis pas pyromane. Je suis normale.



Derrière l'écran

Pseudo/prénom : Mais pourquoi voudrais-tu le savoir ? x)
Age : Miaouh ~
Loisirs : A ton avis ? *-*
Comment es-tu tombé sur le forum ? : Je sais pas, peut-être parce que je suis la fondatrice ? =o
Comment le trouves-tu ? : Ben c'mon forum, je l'aime bien mon fofo é_è
A rajouter ? Miaouh =D
Fiche par @ Twi-art
Revenir en haut Aller en bas
https://pensionnat-monty-rpg.forumactif.fr
 
Jenny Lockart ~
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Jenny, just for you ♫
» Jenny \O
» A la pèche aux nouvelles copines [PV Jenny]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Pensionnat Monty :: The begining ?! :: Dossiers d'inscription :: Dossiers acceptés-
Sauter vers: