Haku Fujiwara, un maître du scalpel ! [Âme sensible s'abstenir]

Bilan psychologique :

Définir Haku est très difficile, mais on va essayer ! Notre jeune ami est malade ? Bien sûr que non ! Du moins c'est ce qu'il pense... Haku à une psychologie spéciale (Nan sérieux ?) : un simple psychopathe ? Non, lui c'est beaucoup plus qu'un psychopathe là où certain psychopathe se sont arrêter à cause de leur remords, lui ne se stoppera jamais, car il n'a jamais eu de coeur et que pour lui cela est tout à fait normal de se faire plaisir peu importe le moyen utilisé. Ce qui était de simples pulsions au début c'est transformé en une passion obsessionnelle qu'il aime par-dessus tout.

Cherchant toujours à dépasser ses limites, il n'hésitera pas à tester sa propre mère pour ses expériences sur les douleurs corporelles humaines. Il n'a plus aucune émotion à part celle du plaisir de faire mal aux autres, les blessés que ce soit physiquement ou mentalement, tout ça peut provoquer un sentiment d'extase chez Haku. Pour lui, la douleur n'existe plus, il n'y a que le plaisir. Ce plaisir qu'il aime tant, le fait de voir les autres souffrir ou mourir.

Son comportement envers les autres est un mélange de plusieurs choses. Il est d'une arrogance innée, il ne peut pas se tenir tranquillement sur une chaise, obliger de bouger partout, testé de nouvelles choses, comprendre comment fonctionne ceci et cela ! Il ne parle pas vraiment d'un langage très raffiné, ce n'est pas qu'il ne peut pas, mais plutôt qu'il ne veut pas paraître pour ce qu'il est passé toute sa vie... Quelqu'un de raffiné, bien éduqué et gentil ce qui est totalement faux. Il est très mauvais acteur, on peut tout de suite voir quelque chose qui cloche dans son regard. Ce n'est pas le regard d'un humain, mais celui d'un monstre incapable de ressentir la moindre émotion.

Il peut être gentil, à condition que vous l'intéressiez, ne vous inquiétiez pas vous ne finirez pas sur une table attachée, il peut aussi vous trouver sympathique et vouloir être amis avec vous. Dans ce cas-là, il y qu'une chose qu'il attend : « Garde le silence sur mes activités ok ? ». Mais ne croyait pas qu'Haku, ce « psychopathe » sera un ange avec vous, il pourrait vous trahir dès qu'il en aura l'occasion pour pouvoir faire ses expériences mais bon. De toute façon à Monty il n'a aucune possibilité de « s'amuser » à sa façon.

Haku est quelqu'un de très fier, il ne peut pas supporter qu'on touche à sa fierté et haï qu'on ait pitié de lui. Ne vous attendez pas à ce qu'il soit généreux avec vous, car après tout, Haku est juste un cauchemar sur patte. Il est légèrement vulgaire, mais heureusement il ne l'est pas tout le temps ! On peut dire qu'il est vulgaire qu'avec le psychologue pour qu'il le laisse tranquille. Mis à part tout cela, Haku est un psychopathe normal, attaqué par ses pulsions, certains psychopathes veulent se battre contre ça ? Haku l'est à pris à bras ouvert et à même «fusionné » avec ce côté noir de sa personnalité ! « Je ne suis pas malade ! Je suis juste un génie » Voilà ce qu'Haku pense.

Tous les soirs, notre jeune Haku écrit un livre pour éviter de s'ennuyer. Non pas un journal intime, enfin presque. Ce sont des comptes rendus de ses « Expériences » avec un bilan émotionnel, les choses qu'il a ressenti etc. Ce livre peut être consulté que par Haku, car oui il est verrouillé par une clé, mais qui sait vous arriverez peut-être à être assez proche de lui pour qu'il vous laisse lire quelques-une de ses expériences !

Bilan physique :

Haku est née avec une belle chevelure blanche et des yeux d'un rouge de la même couleur qu'un rubis, mais son apparence a grandement changé entre ce qu'il était à la naissance et son enfance et maintenant ! Toujours avec les mêmes yeux, notre jeune héros (psychopathe) c'est teint les cheveux de la même couleur pour s'associer avec le sang qu'il aime tant. Il a les cheveux mi- long et en ébouriffé tout le temps, il déteste ce coiffé. Si on devait classer Haku, on dirait qu'il est normal, il n'est pas plus beau qu'un autre et pas plus moche. Malgré sa coiffure, qui donne un air semblable à celui d'un punk.

Bon, passons à son visage ! Il a un visage très spécial, caractérisé principalement par ses yeux couleur sang qu'il aime tant. C'est peut-être la seule chose qu'il aime sur son visage le reste étant comme chez chaque humain : un nez fin accompagné d'une bouche commune à tout humain et quelques piercings aux oreilles, ! Des oreilles pas très grande, mais pas ridicule non plus et des joues qui lui permettent une expression si démoniaque et psychopathe quand il fait son large sourire habituel. Il a toujours une expression froide collé au visage, une expression tellement froide qu'elle pourrait faire fuir un doberman enragé.

Il a un corps assez musclé, en même temps ce n'est pas pratique de capturé des proies si on est gros et faible, il est assez habile de ses mains pour votre plus grand plaisir ou pire cauchemar ! Il a de long bras, légèrement musclé. Il ne sait pas se battre comme un maître du kung-fu, mais à une grande maîtrise du scalpel bien que ce soit inutile, mais il sait utiliser un simple couteau à beurre pour en faire une jolie arme à vous étriper d'un coup... Un monstre ? Non juste un génie...enfin d'après lui

Il n'a pas un style vestimentaire propre à lui, il aime les habits blancs, car le sang se reflète bien dessus ! Le problème c'est que cela se salit très vite... Haku ne prend pas soin de son image vestimentaire, il peut venir habiller comme un homme de la société et le lendemain venir habiller comme un SDF. Il pourrait même venir en chaussette ou même pied nu, mais cela l'enverrait directement chez le psychologue donc il va éviter... Donc Haku viendra souvent habiller d'une façon provocatrice, qu'il aime bien avec des habits blancs ou rouge aux choix et avec son casque noir et rouge, orné de légère rayure (faites avec un couteau) et un signe en scalpel sur les deux caches pour éviter de trop s'ennuyer dans le pensionnat. Il met souvent du vernis rouge aussi, mais ça c'est sans importance.

L'histoire d'Haku Fujiwara !

Un scalpel et quelques outils tranchant, voilà à quoi Haku a dédié sa vie. Ce n'est pas lui qui voulait utiliser ses outils, c'était les outils qui voulaient être utilisé par Haku. Une grande connaissance n'est pas forcément un avantage, mais Haku lui veut vraiment savoir comment fonctionne le corps humain, comment repousser les limites du corps humain.

Haku est née dans une famille milliardaire à Tokyo, dans les quartiers riches, un vrai gosse de riche aux mille est un caprice. Il habitait un manoir dans le quartier riche, le manoir était juste à quelques minutes d'une petite forêt qui est dites « hantés » Il est fils unique, son père est un grand chirurgien et sa mère une journaliste reconnue dans le monde entier sous le nom de Akemi Fujiwara ! Il a toujours vécu avec des domestiques qui lui obéissaient au doigt et à l'oeil et sous des parents qui n'étaient presque jamais à la maison. Il avait un an et quelques mois lorsqu'il arrivait à marcher, ses parents n'avaient même pas regardé le premier pas de leur fils.

Haku était ce qu'on pouvait appeler un surdoué, car à trois ans, notre jeune Haku savait déjà lire. Il ne savait pas écrire, mais lire il y arrivait comme un gamin de 1re année de primaire. Pendant que les enfants, eux jouaient à des jeux, lisaient des livres pour enfants et tout le blabla, Haku lui lisait des livres sur l'anatomie humaine, la médecine et la chirurgie ! Ce qui a fait d'Haku quelqu'un capable de comprendre à cinq ans, ce que des gens apprenaient à 24 ans malgré qu'il ne connaisse pas d'autre chose.

Le père d'Haku, Shigeno Fujiwara trouvait intéressant que son fils essaye de comprendre l'anatomie, les différentes méthodes de chirurgie etc. Il se demandait même si le faire participer à une opération au noir pourrait lui être bénéfique ! Et oui, Shigeno Fujiwara n'est pas seulement un chirurgien réputé, mais aussi un grand médecin au noir... Il s'occupe des yakuzas blessés par arme illégal, les opérations chirurgicales pour changer de visage etc. Mais bon, Haku lui restait dans son monde de scalpel pendant que les autres enfants jouaient à la balançoire.

Spoiler:

Il continua sur cette voie pendant environ quatre ans, tuer les simples chats errants. Maintenant Haku a neuf ans, il trouve sa vie monotone, tuer des chats n'étaient plus vraiment suffisant pour lui ! Il devait augmenter ses connaissances, sa soif de sang était devenue encore plus grande qu'avant ! Il le devait, il se sentait mal ! Autant de connaissance gâché ?! En rentrant chez lui, son père était à la maison, il l'attendait. Il lui pris la main en lui disant :

- Shigeno : Haku ! Haku j'ai quelques choses de formidable à te montrer !
- Haku : Si c'est encore tes livres, je les ai tous lus... Je m'en fiche de ça maintenant !
- Shigeno : Hmm, tu crois que je n'ai jamais vue ton cahier ? Je ne suis pas seulement un médecin, je peux facilement crocheter des cadenas aussi minable.
- Haku : Hein ?!
- Shigeno : Viens tu ne seras pas déçu !

Haku était en colère, son père avait brisé son secret, mais il voulait savoir ce qu'était cette chose qu'il voulait tant lui montrer, « sa chambre » avait beaucoup changé, du stade d'un simple abri insonorisé, il est passé à d'une véritable salle d'opération ! Bien sûr, on ne soigne pas dans la « chambre » d'Haku, on tue et qu'elle fut sa surprise de voir un humain, oui ! Un homme qui devait avoir 30 ans était attaché à sa table qui avait vu que des pauvres chats pour l'instant...

- Shigeno : C'est un Yakuza.
- Haku : Un quoi ?
- Shigeno : Un Yakuza, quelqu'un qui travaille dans l'illégalité, il a besoin de changer de visage, car un portrait-robot a été placé dans toute la ville. Je vais te montrer... Mais avant, je tiens à te féliciter d'avoir volé la plupart de mes outils, la prochaine fois demande moi je te les donnerai sans problème.

Le père d'Haku n'était peut-être pas si normal que cela en fait, il fit un large sourire à Haku avant de prendre D'un simple mouvement, le père d'Haku prit les quelques outils à disposition et commença un travail qui dégoûta largement Haku. Son père maîtrisait tellement mieux le scalpel, ses coupes étaient d'une précision et il arrivait à faire des droites parfaites encore meilleure que s'il utilisait une règle. Haku serait les poings et de légères gouttes de sangs coulaient de sa bouche, il avait une rage infinie contre le talent de son père... Une jalousie inébranlable ! Après 3h de travail, le père d'Haku le regardait dans les yeux.

- Shigeno : Fais un compte rendu
- Haku : Pourquoi ? Il était anesthésié, il n'a rien sentit...

Le père d'Haku rigola un instant avant de poser ses mains sur les épaules d'Haku

- Shigeno : Tu veux devenir chirurgien ?
- Haku : Je ne sais pas.
- Shigeno :Ce n'est pas le métier dont tout le monde rêve, la plupart des gens meurt de leur ignorance et le sang y est habituel. Il faut avoir le courage pour faire ce métier, je comprends que tu ne l'as pas, mais bon peut être qu'un jour...
- Haku : Ta gueule !

Sur ses mots Haku partit de « sa chambre » avec un léger sourire, c'était le moment où il se disait « je le surpasserai, car je suis un génie et je provoquerai la douleur ultime, celle que même le cerveau ne pourra pas arrêter ! ». Bien sûr, enfant capricieux qu'il était autrefois, il changea le simple cadenas de sa chambre par trois verrous et un code. Tous les soirs, Haku s'entraînait à faire des coupes droites, sans bafouillage sur une table. Il avait un gros potentiel dans la chirurgie, mais il ne voulait pas du moins il ne voulait plus faire de la chirurgie, il voulait faire des recherches sur la douleur ! Comment fonctionne la douleur ? Cette douleur qui lui donnait tant d'extase, quand il la voyait sur le visage d'une autre personne ou quand il la ressentait à quelques moments.

Haku avait 12 ans maintenant, il continuait ses expériences sur des animaux en tout genre maintenant, que ce soit un chien, un chat, un pigeon ou un simple rat. Tout est bon pour pouvoir assouvir sa soif de sang et de douleur grandissante. Il était maintenant en troisième année de collège et un évènement très bizarre arriva. En effet, il était poursuivi par une stalker (harceleuse). Elle lui envoyait des SMS tous les soirs, téléphoné chez lui toutes les cinq minutes quand il était chez lui, il ne savait pas comment cette personne savait tout ça, mais une chose est sûre ! Elle allait le regretter. Il rentrait dans le jeu de la stalker, lui disant qu'il l'aimait et tout le blabla habituel. Haku était un bon comédien, la preuve tout le monde au collège le prend pour quelqu'un de sympathique bien que souvent seul. Il proposa un rendez-vous à la stalker dans son manoir, à 23h devant le portail. Dans la journée, Haku avait donné un jour de congé à toutes les domestiques, son père et sa mère était parties une semaine à leur occupation respective. Il était seul, seul comme il aimait et ce soir il allait se lâcher sur une pauvre jeune fille de 14 ans. Il avait laissé le portail entre-ouvert, il faisait nuit et la lune virait au rouge sang, Haku avait se sourire des grands moments qui prouvait l'excitation du moment. Il préparait « sa chambre » en chantonnant un air de Lilium . Plus l'horloge avançait, plus l'excitation montait, il avait tout préparé pour une nuit de jouissance. Il reçut un SMS à 22 h 30 et fit un large sourire avant de rire aux éclats comme le psychopathe qu'il était au fond.

- ?? : Mon amour, je suis prête à tout pour toi, je suis arrivé en avance ! J'espère que cela ne te dérange pas ? Je t'attendrai toute la nuit s'il le faut ! Toute ma vie même !
-Haku : Ne t'inquiète pas... J'arrive.
- ?? : Je t'aime !

Haku passait sur le côté du manoir, courait dans le jardin pour enfin repérer sa proie, il fut surpris de voir que la stalker en question n'était personne d'autre que sa professeur d'histoire géographie, Aiko Yashida. Le long sourire aux lèvres et pour vérifier si c'était bien elle, il envoya un dernier sms.

- Haku : Tu es bien arrivé ?
- Aiko : Oui ! Où tu es mon amour ?
- Haku : Derrière toi...

Haku sortit de l'ombre, sans faire aucun bruit, il s'approchait de sa prof qui lisait son portable avant de se retourner, il lui enfonça une seringue avec un puissant tranquillisant. Elle s'effondra dans les bras d'Haku comme une amoureuse qui retrouvait son amour qu'elle n'avait pas vu depuis 10 ans. Il lui souffla une dernière phrase à l'oreille avant qu'elle ne s'endorme complètement.

- Haku : Merci, vous allez me donner beaucoup de plaisir, Yashida-Sensei.

Il déplaça Aiko dans « sa chambre » et l'attacha à une table spécialement faite à cet effet. Il la releva la table et la cloua au mur. Une fois les préparatifs finis, il fallait attendre qu'elle se reveille et il commanda une pizza pour manger, ce soir allait être un grand soir ! Une quinzaine de minutes plus tard, le livreur sonnait au portail, Haku ouvrit le portail et le livreur arriva sur son scooter pour lui livrer la pizza jusqu'à sa porte. Il avait une envie de le tuer lui aussi, mais les soupçons seraient trop plaqués contre Haku comparé à Aiko elle, est célibataire, son travail est un travail sans livraison et personne ne sait qu'elle harcelait un de ses élèves car c'est une associable qui avait beaucoup parlé de mettre fin à sa vie ! Haku allait exaucer son souhait, perdu dans ses pensées il oublia quelques instants le livreur.

- Livreur : Tu te sens bien petit ?
- Haku : Hein ? Je ne suis pas petit ! Combien j'vous dois ?
- Livreur : 1500 Yen

Il sortit un billet de 10000 Yen et le donna aux vendeurs avec un simple « gardez la monnaie, considérez ça comme votre pourboire. » et retourna voir Aiko, il posa la pizza quelques instants sur la petite table basse qu'il avait à côté des deux chaises, il posa ses pieds sur une des chaises et s'adossa à l'autre en attendant le réveil d'Aiko. Quelques minutes plus tard, la pizza était froide et Aiko venait de se réveiller, elle regardait Haku avant de se rendre compte qu'elle était attaché, elle ne voyait pas encore ce qu'il lui réservait.

- Haku : Ya-shi-da-Sen-sei ! Ah lala, les humains m'intéresse vraiment vous savez ?
- Aiko : Haku ? Détache-moi ! Je veux m'amuser avec toi !
- Haku : Ne vous inquiétez pas, on va bien s'amuser tous les deux ! Vous voulez faire quoi ?
- Aiko : A ton avis ? Je te vois toujours en cours, à chaque fois que je pense à toi je suis dans un état second, je t'aime ! Je tiens à te donner mon corps et mon coeur ! Détache-moi tu ne le regrettas pas, je sais faire plein de choses !
- Haku : Vous m'intéressez...

Spoiler:

Haku continuait sa vie, repensant chaque jour à cette nuit magnifique, une rumeur avait était lancé comme quoi Yashida avait trouvé un amant et qu'elle se serait enfui avec lui, un des élèves de sa classe : Makoto était venu le voir pour lui parler encore de ce « triste évènement »

- Makoto : Salut Haku !
- Haku : Ah ? Makoto...
- Makoto : Ça fait trois ans que Yashida-sensei est disparu ! Personne ne s'est où elle est c'est incroyable ! Et toi ? T'en pense quoi Haku ? Elle s'est vraiment enfuie en laissant ses élèves comme ça ?
- Haku : Peut-être... Je n'en sais pas plus que toi...

Un parfait mensonge, Haku continuait de regarder du fond de la classe. Il y avait une fille : Ayame qui a été particulièrement touchées par la disparition de sa prof, elle regardait le portrait de celle-ci accroché au-dessus du tableau de la salle. Il la regardait avant qu'elle ne se lève et se dirige d'un pas sûr d'elle vers le jeune pour lui dire « Il faut qu'on parle, rendez-vous sur le toit à la fin des cours ! » sans même attendre une réponse d'Haku, elle se remit à sa place. La cloche signifiant la fin des cours sonnait, Haku n'allait pas aller à ce « rendez-vous », mais la jeune fille le rappela à l'ordre et couru vers le toit. Il monta les escaliers du lycée pour arriver vers cet endroit si calme, où personne ne venait !Ayame n'était pas là et il décida de rester un peu sur ce toit. Bizarre, il s'avançait doucement, quelque chose était louche, il le sentait ! Puis un puzzle se mit en place dans sa tête en une fraction de seconde : Aiko, Ayame , Meurtre, Le regard d'Ayame envers Aiko et Haku. Il se retourna en une fraction de seconde et sortit son couteau à cran d'arrêt et de son autre main, stopper le poignet tenant la machette d'Ayame.

- Haku : Je suis surpris... Pourquoi essayes-tu de me tuer ?
- Ayame : Je dois te tuer ! Pour le crime que tu as fait !
- Haku : Hmm... Pourquoi avoir tenu le secret ?

Spoiler:

Quelques mois plus tard, l'été venait taper aux portes... Le 5 juin, c'était l'anniversaire d'Haku. Il n'aimait pas ça, devoir faire semblant d'être heureux d'un jour comme les autres... Son père n'était pas là, comme d'habitude. Hakuétait devenue un tueur, un prodige du scalpel et des objets coupants... Il ne savait pas s'il était plus compétent ou non que son père, mais il s'en fichait ! Ce soir, « Nightmare » allait être craint de tous ! La fête se passait au mieux,Haku avait fait un caprice pour qu'il n'y ai aucun invité extérieure à la fête, c'est-à-dire qu'il y avait : sa mère et sept domestiques. Haku avait un plan précis en tête, il mettait son costume dans sa luxueuse chambre. En partant, le sourire à son visage, il passa sa main vers sa commode pour prendre ce qui ressemblait belle et bien à une grenade fumigène et un masque. La grenade cacher dans son pantalon et le masque sur sa tête... Il arriva dans la salle avec au milieu toutes les personnes qu'il allait tuer avec ce scalpel qu'il avait toujours sur lui et fit un grand sourire à la phrase de ses proches.

- Tout le monde : JOYEUX ANNIVERSSAIRE HAKU !!!! Tu as 15 ans maintenant !
- Haku : Merci... Devinez qui je suis ?
- Akemi : Bah tu es Papa bien sûr !
- Haku : Je ne suis pas Papa... Je suis Nightmare...

Sur cette phrase, il dégoupilla la grenade et la lança en direction du gâteau où ils étaient tous. Un gros flash... De la fumée... Une domestique résistait mieux que les autres.

- Domestique : *Tousse* Pour...Quoi ?
- Haku : Pourquoi ? Pour le plaisir de la recherche évidemment...

Spoiler:

Une foissortit, il regardait avec horreur une personne accompagnée de deux hommes, qui tapait dans ses mains pour l'applaudir...

- Shigeno : Bravo !
- Haku : Qu'est-ce que tu fais ici ?
- Shigeno : Je regarde mon fils évolué... Je n'ai jamais tué et t'est actions étaient... Très bien organisé même quand tu t'y prenais à la dernière minute. Je voulais te dire que tu ne peux plus vivre... Tu as bien trop « évolué » et je compte faire disparaître Haku Fujiwara avec cette maison. Nightmare auras encore frappé hein ?

Sur le coup, les deux hommes s'approchaient d'Haku. Le jeune garçon lâcha les deux valises qu'il avait avant de sortir son scalpel, mais les deux hommes étaient des « professionnelle » et ils ont maîtrisé Haku avec simplicité, le plaquant par terre, devant son père.

- Shingeno : Je vais t'envoyer dans un endroit très spécial... Aller mon fils, bonne nuit !

Une haine insurmontable monta à l'intérieur d'Haku, c'était ce qu'avait ressenti cette domestique quand son père lui fit le même geste, il lui mit un coup de pied dans la face avant de le piquer avec un produit.

- Haku : Pu...tain...

Deux semaines plus tard...

Haku était resté dans le coma pendant deux semaines à son réveil, il était dans un bus en direction d'une ville irlandaise, tout été écrit en anglais... Il ne comprenait rien... Au début du moins, car Haku comprend très bien l'anglais et sait le parler, il avait dû très souvent, avoir des transactions avec des américains pour avoir ce qu'il voulait. Son anglais n'était pas parfait du moins et il devrait surement avoir des cours de soutiens. Il avait une camisole de force, un homme portait ses bagages et l'emmena dans un établissement « Boarding School Monty » et il se retourna vers l'homme qui l'accompagnait, un anglais.

- Haku : Excuse me sir... Why I am here ?
- ?? : Hmm... This is a boarding school for madman.

Haku ne revenait meme pas de ce qu'il entendait ! Un pensionnat pour fou ?! « Mais je suis pas fou ! Je suis un génie ! Un dieu de la médecine ! » C'est ce qu'il criait en japonais, mais personne ne le comprenait... Et l'homme lui pointa un journal avec écrit en gros titre en japonais « Nightmare à encore frappé, Akemi Fujiwara, des domestiques et son fils Haku Fujiwara sont morts dans cet acte barbare ». Seul la haine envahissait Haku à ce moment, il allait le tuer, il allait tuer son père, mais avant il allait s'enfuir de cette école ! L'homme lui mit un bracelet de couleur bleu avant de fermer le portail sans aucune autre alternative au jeune garçon que de partir dans ce pensionnat le temps qu'il puisse trouver un moyen de s'échapper.