Malycia Lacroix *

Description psychologique :

Un peu bête de sexe à ses moments, elle aime bien amadouer tous les garçons qu'elle trouve à son goût et de temps en temps, tenter de nouvelles expériences. Faites attention à elle, qui peux être tellement douce d'un moment et tellement brutale d'un autre. Un gros problème chez elle; elle est incontrôlable et imprévisible. Une simple phrase peut la mettre hors de ses gonds et elle vous sautera dessus sans hésiter. Elle aime bien se battre et ne s'en prive pas lorsqu'elle a envie. Elle est sans doute la personne qu'il ne faut pas agacer, sous peine de se faire attrocement blesser et d'amerement le regretter. Elle ne démontre pas à tout le monde qui elle est réellement, mais sous ses airs de gamine bien innocente se cache quelqu'un de beaucoup plus mature et de beaucoup plus dangereux. Elle n'a peur de rien, ni de personne. Puis, elle adore ses joués de ceux qu'elle sait plus faibles qu'elle. Elle déteste perdre son temps par dessus tout et est un peu trop addict à l'alcool à mon goût. Que dire d'autre sur cette charmante gamine; elle est sympathique à ses moments, ce qui n'arrive pas très souvent.

Description physique :

De longs cheveux bruns ondulants tombent dans son dos, doux et fins, des cheveux de rêves. Elle ne passe aucun temps à arranger ceux-ci, ça lui importe peu. Elle se fait souvent des nattes pour eviter d'avoir l'air échevelé, quelques mèches rebelles tombent devant ses yeux, lui cachant quelque fois la vue. Ses yeux sont bleus très profond, mais elle les camoufles avec de jolis verres de contact rouges flamboyants. D'une grandeur normale, elle n'est vraiment pas grosse, faisant bien attention à ça. C'est bien l'une des seules choses qui l'importent vraiment dans son physique. Elle porte à peu près toujours les styles de vêtements; jupes assez courtes en doux tissu et un chandail à manches longues ou bien une camisole, mais toujours avec une veste ou cagoule par dessus, c'est evidement pour cacher ses blessures qu'elle a aux bras. Tattoo, aucun; Percing, Oreilles et son sein droit. Aucun bijoux, elle ne s'encombre de rien ne serait-ce qu'un couteau qu'elle avait l'habitude de porter sur elle. (J'imagine qu'elle ne peut pas dans le pensionnat. ^^)

Son histoire :

Des souvenirs? Je dois dire que je n'en ai pratiquement pas de ma naissance, ni de mon enfance. Quelque chose est arrivé et j'ai perdu la mémoire, toute trace de ma jeunesse à disparut. Alors, je vais vous raconter tout ce que je peux.

~ . ~

Je m'étais réveillée, dans ce qui me semblait être un hopital, j'avais essayé de m'assoir, mais en vain, j'étais attachée dans le lit. Je ne m'étais pas fâchée, j'avais simplement attendue, essayant de temps en temps de bouger. J'avais tous les membres qui me faisaient attrocement souffrir. Finalement, quelqu'un était entré dans la chambre. Ça me semblait être un infirmière, elle m'apporta à manger et quelque chose à boire, mais ne me détacha pas. Franchement, comment voulait-elle que je mange, attachée de cette façon? Enfin bon, j'étais restée dans cette chambre d'isolation durant plusieurs jours. Je n'avais rien fait pour être là, mais je restais calme, du moins j'essayais.

Non, mais qu'est-ce que je faisais là? Aucune idée, mais j'y suis quand même restée un bon bout de temps. J'en avais marre de me faire oscultée jours après jours, de parler à un psy, je n'avais rien à dire, je ne me souvenais même pas de ce que j'avais fait la veille. J'arrivais à me rappeller de ma famille, j'avais vraiment envie d'aller les voirs. Je m'ennuyais d'eux. Je voyais même une maison lorsque je pensais à eux, je la voyais. Je pouvais presque la toucher dans mes souvenirs. On m'avait souvent dit que quelqu'un qui rentrait à l'hopital n'en resortait pas sans autorisation, eh bien, j'avais envie de faire changer les choses. J'ai pris mon courage à deux mains et je me suis enfuis.
J'avais marché durant de longues heures, tous les passants me regardaient étrangement. J'étais vêtue d'une jaquette d'hopital, je n'étais pas difficile à remarqué. Je m'étais finalement laissé tombé assise sur le sol, j'avais mal partout et j'étais épuisée. J'avais envie de rentrer chez moi, de sauter au coup de mes parents. Je levai finalement les yeux et froncai les sourcils. Là-haut, plus loin, il y avait un coq. Coq qui m'était familié d'où je ne savais où. Je marchai à travers les cours des voisins, me retrouvant finalement devant ma maison chérie. J'étais entrée et j'avais criée le nom de mes parents, en vain, il n'y avait personne.
J'étais assise dans le milieu du salon quand j'entendis des pas. Je ne comprenais rien. Pourquoi la maison était vide? Pourquoi mes parents n'y étaient plus? C'est là que quelqu'un m'attrapa par un bras, me remettant sur mes pieds. Il me ramena à l'hopital, mais dès que l'on arriva face à celle-ci, je me rendis compte que ce n'était pas du tout un hopital normal, c'était un azil, pour les fous. Je commença à me débattre, ce qui ne fit qu'augmenter la poigne que l'homme avait sur mon bras. Je n'étais pas folle, je ne voulais pas aller là... NOOOONNNN...

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Après quelques années emprisonnée la dedans, je suis sortis, ils m'ont dit que j'étais assez stable pour pouvoir retourner dans une famille d'acceuil. Je comprenais pas tellement pourquoi dans une famille d'accueil, c'est là qu'ils m'ont expliquer que ma famille avait été tué. Je n'avais rien répliquer, mais je cherchais interieurement qui avait bien pu faire du mal à toute ma famille et surtout, pour quelles raisons..?
Ils m'ont amener dans une famille qui n'avait aucuns enfants, pour l'instant. J'ai vécu avec eux quoi, deux ans. Jusqu'à cette nuit là. Je n'ai jamais compris ce qui c'était passé, mais lorsque j'ai ouvert les yeux, j'étais étendue dans mon lit, un long couteau de cuisine dans la main couvert de sang. Mes draps étaient aussi pleins de sang. Je m'étais levée et avait suivit la ligne de liquide rouge qui trainait jusqu'a la chambre des parents. Je secoua la tête, j'avais peur d'y entrer. J'ouvris la porte et c'est quand je les vis que je compris. Je crois que je venais d'assassiner mes parents adoptifs. Pourquoi est-ce que j'avais fais ça? Aucune idée. Je m'étais enfuis, avant que quelqu'un s'apercoive de leur mort...

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C'est après cet accident là que le psychiatre qui me suivait m'envoya dans ce pensionnat. Oui. Il m'avait retrouvé ce connard, je lui avais dis mes cachettes, bordel. Il ne m'avait pas revu depuis ma sortie de l'hopital, mais était convaincu qu'en allant au pensionnat Monty je pourrais me remettre sur pieds. Mais me remettre sur pieds de quoi? Oui. Il ne cessait de me dire que j'avais une maladie et moi, je refusais de l'entendre. Je ne voulais pas le dire, même si en dedans de moi je savais que c'étais possible. Il m'avait envoyé la-bas, sans mon accords et je lui en voulais pour ça. J'avais passé plusieurs années avec lui, j'avais appris à lui faire confiance, mais maintenant c'étais fini tout ça. Plus jamais je ne parlerais à personne. J'étais arrivée là sans savoir où me lancé, j'avais envie de me cacher, de ne plus exister. De me tuer pour ne plus l'entendre cette voix dans ma tête qui m'énerve. Cette voix qui me tue littéralement.