L'arrivé d'Alyssa

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Aujourd'hui, c'était la rentrée. Enfin la rentrée pour Alyssa. Nouveaux lycée, nouveaux profs, nouvelles classes, mais pour l'instant pas de nouveaux amis.... Tout de façon Alyssa n'en avais pas besoins. Elle n'aimait pas trop se confier, traîner en bande etc... Alyssa depuis toujours détestait les groupes d'amis. C'était comme si les personnes avait peur de rester seul. La vie en socièté, sa ne réussisssait décidèment pas à Alyssa. Pour elle l'amitié, c'était une chose étrange, bien sûr elle aurait aimer avoir une amie, avec qui tout partagée, mais ici, les gens deviennent amis en un jour. Ils sont dans la même classe, donc ils sont amis, et sa Alyssa ne le comprennait pas . Elle posa son sac par terre et s'adossa contre le mur. Elle regarda ses chaussures, noires, brillantes, avec d'immences talons. Elle essayait de retardée son arrivée, ou plûtot de franchir le portail, dans son nouvel établissement scolaire, comme on devait l'apppeller. Chaque élève rejoignait ses amis, rigolait, plaisantait, mais pas elle. Elle essaya de se persuader que cela ne lui faisait rien mais une pointe de tristesse était là, bien tapis au fond de son coeur. Elle secoua ses cheveux, qu'elle avait pris soin de frisés. Elle s'ennuayait à mourrir ici, sur son coin de mur, aussoleil, avec son tee-shirt à paillette qui étincellait au soleil. Elle avait chaud aussi dans son slim en jean, décidement, première journée, sa vas être la fête. Une fille passa devant elle et la bouscula. Alyssa eu envie d'aller lui foutre une baffe mais elle se retint, mieux vallait donner un bon exemple le premier jour. Elle se radossa donc sur son mur en gromelant. Un jeune homme passait devant elle.Alyssa le regarda passer, cetainement aller ils rejoindre ses amis, plaisanter avec eux. Alyssa du le dévisagea un peu trop car celui si sse retourna...

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Je ne savais pas pourquoi, mais ce matin, quand je me suis réveillé, j'étais de très bonne humeur. Être de bonne humeur dès le matin, n'a jamais d'explication à cela. D'ailleurs, l'expression ce lever du pied droit, ou du pied gauche n'a pas de sens à mon goût. Même si l'on ce lève du pied gauche, on peut très bien être de bonne humeur!

Enfin bref. Je m'éloigne de mon histoire; reprenons. Sans me soucier si mon camarade de chambre étais encore là, me levant sans faire attention où je mettais les pieds. Je m'habillais d'un tee-shirt gris et d'un vieux jean. Un coup de déo, et je sortit de la chambre, claquant la porte. Je me dirigeais à présent vers la cafétéria, pour prendre mon petit déjeuner tranquillement. En effet, oui, tranquillement, car il étais tôt. Même tellement tôt, que les portes étaient fermées...

Je me détournais alors. Je n'allais tout de même pas retourner dans ma chambre... Pour y faire quoi? A part retourner dans mon lit, je ne voyais pas spécialement d'autres solutions. Je décidais alors d'aller prendre l'air. L'air du matin ne me ferais pas de mal. Je me dirigeais vers la sortie, n'apercevant personne à l'accueil.

Je traversa la porte, puis, de mes bras musclés, m'étira de tout mon long. Cela me faisais un bien fou. Il y avais bizarrement du monde dehors aujourd'hui. Remarque, je ne pouvais vraiment savoir si les autres jours aussi c'était comme ça, car il étais bien la première fois que je sortais si tôt le matin. Je remarquais de même un soleil éblouissant. Je plissais les yeux, en mettant ma main devant ceux-ci.

Je voyais à présent beaucoup mieux. Et j'apercevais une jeune fille, plus précisément, une ados. Elle devais surement être nouvelle au pensionnat. Elle était contre un petit muret, au soleil. Je commençais à avoir chaud à examiner la foule et attendre au soleil. Je décidais de m'approcher d'elle. Et oui, aujourd'hui j'étais de bonne humeur, et il valais mieux en profiter car cela ne devrai surement pas durer longtemps. Elle étais seule, elle ne devais surement pas oser s'approcher de son nouvel établissement.

Je m'avançais avant de franchir le portail, pour aller la rejoindre. Je l'aperçut, avant de dire :

« Salut...»

La discutions n'a jamais été mon point fort...

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Le garçon s'approcha et dit simplement:

-Salut...

Oua, sa a dit lui éccorcher la bouche de dire se sa! pensa Alyssa en ricanant. Très bavard franchement... Elle décida de répondre, c'était toujours mieux de donner une bonne image de soi, surtout le premeier jour, on sait jamais se qui pourrait se passer par la suite...

-Salut! répondit elle séchement avant de tourner la tête.

Mais qu'il me foute la paix celui la! pensa Alyssa excéder. Ele n'avait pas très envie de lui causer à lui, il paressait... ouai, enfin c'était un mec quoi. Alyssa réussit quand même à afficher un sourire, et en repoussant ses cheveux en arrière lui dit:

-Moi c'est Alyssa.

Bon, ceci dit, elle n'était pas mieux, question discussion, ils étaent tout les deux de gros bavards...mais en faite, Alyssa s'en fichait, ce qu'elle voulait, c'était partir d'ici, elle en avait marre d'être ausoleil, sur ce mur râpeux, devant ce lycée qu'elle connaissait même pas...avec ce gars qu'elle ne connaissait pas non plus...enfin....elle décrocha un deuxième sourire au cas ou et baissa la tête

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-Salut!

C’est ce qu’elle me dit. Un simple salut. Je pensais au moin avoir une présentation, ou quelque chose de ce genre. Enfin… J’étais quand même venu jusqu'à elle, alors que tout le monde l’ignorais. Elle me fît un sourire forcé. J’avais vraiment l’impression de la déranger. Dans ces cas là, je ne me cache jamais. Puis, avant que je puisse dire quoi que ce soit d’autre, elle prononça enfin :

-Moi c'est Alyssa.

Je fis un effort. Bien que je n’en avais pas du tout envie. Je n’étais pas du tout gêné. D’ailleurs, pourquoi je l’aurais été ? Ca aurais plutôt du être elle la gênée. Mais elle n’avait pas l’air de l’être. J'émis un soupire.

-Moi c’est Michaël… Dis-je de ma voix grave. Bon euh… si je te dérange tu le dis tout de suite hein, moi je ne père pas mon temps, si tu ne veux pas t’aide, c’est tant pis pour toi.

J’attendais à présent un quelconque geste, ou même réaction. Je commençais à faire deux trois pas en arrière, doucement pour savoir si je devais rester avec elle non. Ma bonne humeur pouvait certainement disparaitre ce matin…

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-Moi c’est Mickaël… dit le dénomé Mickael dans un soupir

Wouah dingue, il ma répondut! pensa Alyssa ironique, Mais c'est qu'il a une langue le garçon!
Bon, assez de moquerie, qu'est ce qu'il lui voullait, ce Mickael? Oui elle était nouvelle, et alors, pas la peine de venir l'embêter avec sa, déja qu'elle n'en peu plus de la journée qui vient à peine de commencer, alors si les gens viennent s'amuser à la martyriser ârcequ'elle vient d'arriver, Alyssa sans qu'elle ne se controlera plus. Et la faudra faire gaffe à ce qu'ils disent...

-Bon euh… si je te dérange tu le dis tout de suite hein, moi je ne père pas mon temps, si tu ne veux pas t’aide, c’est tant pis pour toi

Mais parcequ'il voullait l'aider? Comme il est aimable dit donc! Mais Alyssa n'avait pas besoins d'aide. Surtout pas venant d'un gars, surtout pas venant d'un gars comme lui. Alyssa se demanda si elle allait lui répondre. Elle opta pour non, elle replia ses épaules, fit une tête boudeuse et garda les lèvres obstinément fermé. Voyant la tête de mule qu'était Alyssa, le garçon reculat de quelques pas, hésitant à partir ou à rester...Alors, à ce moment, sans savoir pourquoi, Alyssa eu envie qu'il reste. Pas parcequ'il lui plaisait particulièrement, non, mais plûtot parcequ'elle en avait marre d'être la bougon de service, la fille qui reste réservée et dans son coin, cherchant les embrouilles, et la plus part du temps, les trouvent.
Cette fois si, Alyssa eut envie d'avoir quelqu'un à qui parler, avec qui rigoler, voir même s'amuser. Alyssa comprit que cette nouvelle rentrée pouvait être après tou, un nouveaux départ, vers un nouvelle vie moins monotone. Pour ne pas se montrer faible, et dit d'un ton sec, mais qui se voullait pas trop froid et cassant tout de même:

-J'ai pas besoins d'aide, t'inquiète pas pour moi. Elle marqua une pose puis ajouta Mais merci quand même

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-J'ai pas besoins d'aide, t'inquiète pas pour moi. Mais merci quand même.

Bon… Elle n’était peut-être pas aussi mécontente que quelqu’un vienne la voir. Elle montra quand même un tout petit peu de politesse envers moi. Alors là, en revanche une question ce posais. Oui, peut-être qu’elle m’avait montré un signe de politesse en me remerciant, mais alors, si elle n’avait pas besoin d’aide devais-je rester ou non? Après tout, elle était nouvelle. Mais en même temps, elle n’avait pas l’air d’avoir une envie folle que je reste. Aller. Maintenant, stop les bêtises, elle était nouvelle, et elle ne savait en rien comment fonctionnait cet établissement. Je fronçais les sourcils en la regardant puis lui dis :

« Bon. Écoute, tu ne sais rien de comment cela ce passe ici, alors j’ai envie de perdre mon temps à savoir si je dois rester ou pas. Alors j’vais quand même t’aider ok? »

Je dis ma phrase d’un ton très sec. Pour une fois que j’avais envie d’aider, il fallait vraiment en profiter. Je repris, ne la laissant pas le temps de répondre.

« Déjà, je pense qu'il faudrait qu'on rentre, dis-je en mettant ma main devant mes yeux, je ne sais pas toi, mais moi je commence à avoir chaud. »

Je commençais à me diriger à l'intérieur, lui faisant signe de venir...

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-Bon. Écoute, tu ne sais rien de comment cela ce passe ici, alors j’ai envie de perdre mon temps à savoir si je dois rester ou pas. Alors j’vais quand même t’aider ok?

Alyssa soupira. Voilà maintenant que Michael voullait joué à la nourice. Alyssa ne dit rien, ne voulant pas vexer son nouveau baby-sitter, mais elle aurait aimer rétorquer qu'elle sans foutait, qu'elle partirais d'ici ,qu'elle se ferait renvoyer si il le fallait, qu'elle n'avait pas besoins d'aller dans ce lycée, elle était déja bien assez intelligente, mais elle reste étonnament calme, un peu trop même à son goût.
Michael ajouta

-Déjà, je pense qu'il faudrait qu'on rentre, dis-je en mettant ma main devant mes yeux, je ne sais pas toi, mais moi je commence à avoir chaud.

Oui il faisait chaud, mais au contraire, c'est ce qu'ele aimait, Alyssa, la chaleur. Laa caresse brûlante du soleil, la peau qui se colore au fils des heures, l'éblouissement devant temps de lumière, ce mal de tête qui vous prends quand on reste trop longtemps au soleil le midi. Oui elle aimait cela. Mais Michael s'éloignait déja en direction de lentrée, lui faisait signe de venir. Alyssa émit un grognement mais décida de le suivre, on c'est jamais...

Arrivée dans le hall, Alyssa eut la nausée. C'était noir de monde. Et elle détestait ça, le monde, la foulle. Mais elle sourit à Michael et lui demanda;

-Et maintenant, on fait quoi?

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La prénommée Alyssa me suivit jusqu'à l’intérieur et demanda :

-Et maintenant, on fait quoi?

Elle avait l’air légèrement… mécontente que je lui fasse faire cela. Mais de toute façon je ne savais pas quoi faire, et elle était la seule personne que je pouvais aider ou faire quelque chose avec elle. Je levais les yeux au ciel, comme sous entendus, un peu de patience… Je regardais à l’accueil, il y avait un surveillant cette fois ci. Car quand j’étais arrivé, il n’y avait effectivement personne. En lui montrant du doigt le comptoir, je lui dis :

« Las bas, il faut que tu aille te renseigner pour le numéro de ta chambre et tout… »

Elle n’avait l’air spécialement d’aimer la sociabilité. Bon, moi non plus, mais vu que j’étais de bonne humeur ce matin, bien qu’elle avait un peu disparut, j’en profitais pour faire part de MA sociabilité. Je lui fis un petit sourire narquois.

« Alors ? Toujours pas besoin d’aide ? »
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[HRP: Désolé de la réponse très très courte...]

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Michael leva les yeux au ciel. Alyssa détourna la tête énerver.. Elle détestait quand les gens faisait ça. Sa voulait dire: Attends, c'est moi le boss, laisse moi faire. Alyssa attendit donc patiament qu'il veuille bien "l'aider" comme il disait.

-Las bas, il faut que tu aille te renseigner pour le numéro de ta chambre et tout…

Le numéro de chambres et tout, ça voulait dire quoi et tout? Alyssa soupira, commença à s'avencer mais Michael l'interrompit en disant avec un sourire narquois, moqueur:

-Alors ? Toujours pas besoin d’aide ?

Son sourire donnait à Alyssa l'envie folle de le baffer. Mais bien sûr, elle préfèra se retenir. Il vaudrait mieux pour ce Michael qu'il arrète de lui taper sur les nerfs, elle commençais sérieusement à en avoir marre. aut pas jouer à ce petit jeu trop longtemps, sa devient lassant. Elle grogna puis se retourna vers lui et fit:

-J'arais pu le faire toute seule tu sais.

PAF. Sa lui appredra à celui la. Comme si devoir donner des renseignement à un surveillant installer derrière un comptoir était une épreuve insurmontable et qu'elle allait avoir besoins de ce charmant, et énervant surtout, jeune homme. Ridicule.

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Je sentais qu’avec cette Alyssa, ça n’allais pas marcher entre nous. Avec son air de « je m’en fou de tout » elle commençait sérieusement à ma gonfler. Alors en fait, je ne savais même pas pourquoi je voulais l’aider. C’était stupide de ma part. Je pensais cela après cette phrase qu’elle me dit :

-J'aurais pu le faire toute seule tu sais.

J’haussais les sourcils en la regardant. Je m’approchais d’elle, assez proche, puis lui sortit tout simplement :

« Ne t’avise pas à jouer à ce petit jeu avec moi… »

Eh bien voilà, c’est génial. Elle pouvait le faire toute seule, alors qu’elle l fasse seule. Elle n’avait pas besoin de moi ? Alors qu’est-ce que je faisais là, à perdre mon temps ? Je me décollais d’elle et me dirigea derrière elle, toujours en la regardant. Je ressortis dehors, et alla m’asseoir sur un banc, à l’ombre. Si elle avait besoin de quoi que ce soit, il ne fallait surement pas venir vers moi.

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Michaël c'était penché sur Alyssa et lui avait balancé à la figure:

-Ne t’avise pas à jouer à ce petit jeu avec moi…

Alyssa en restat bouche bée. C'est tout? Alyssa aurait aimée qu'il s'énerve un peu plus, un truc marrant quoi. Qu'il devienne rouge, qu'il lui crit dessus, et que elle, avec son air narquois, elle le rembard méchament. Mias non. Il s'en va juste dehors. Nul.

Alyssa ne sais pas trop pourquoi, mais elle décida de le suivre, juste pour voir comment il était quand on le métait au bout. Ca risquait d'être drôle...

Michaël était assit sur un banc. Alyssa vint s'assoeir à ses côté, sans rien dire. près quelques minutes de silence, elle lâcha:

-Sinon quoi?

Elle sourit d'un de ces sourires dont elle seulle avait le secret, elle sourire mauvais mais charmant en même tant. Un sourire d'Alyssa quoi...

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J’étais toujours assit sur le banc en question. Je m’étais assit avec une jambe recroquevillée sur moi même. Je tournais la tête puis vit arriver Alyssa vers moi. Mais qu’est-ce qu’elle cherchait exactement ? Elle n’avait pas besoin de mo aide alors qu’elle me lâche… Elle vint même jusqu'à s’asseoir à côté de moi. Je ne bougeais pas, l’ignorant et regardant devant moi avant qu’elle me lâche :

-Sinon quoi ?

Sur le côté du banc, ce trouvait deux accoudoirs. Je levais les yeux au ciel, allant m’appuyer sur un d’eux. Je mettais mes deux jambes sur le banc, de façons à ce que je sois à l’aise mais qu’en même temps Alyssa ne puisse se rapprocher de nouveau près de moi… Je soupirai avant de lui dire :

« Tu es pitoyable, si tu n’a pas besoin d’aide alors va. Va jouer avec la surveillante plus qu’ignoble et puis ensuite déballer ton sac et jouer avec tes babies… Je n’ai pas de temps à perdre avec des gamines tel que toi… »

Elle l’avait cherchée. Je lui avais balancé ses quatre vérités en face. De toute manière, ici j’étais bien, à l’ombre presque allongée profitant de l’air de l’extérieur. En gros, je m’en fichais si elle partait…
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[Excuse moi du retard T-T]

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Michaël c'était instalé confortablment sur son banc, et avait croisé les jambes, de sorte que Alyssa ne puisse pas s'avencer. Mince alors.

Alyssa s'attendait qu'il sorte un truc lourds, puis sanglant, auu'elle elle aurait pu répondre de même et l'envoyer dans les roses mais étonament, il lui dit juste mauvaisement:

-Tu es pitoyable, si tu n’a pas besoin d’aide alors va. Va jouer avec la surveillante plus qu’ignoble et puis ensuite déballer ton sac et jouer avec tes barbies… Je n’ai pas de temps à perdre avec des gamines tel que toi…

Alyssa le regarda en souriant. Très drôle ce gars, très drôle. Décidèment, il n'avait pas un caractère facile, u peu comme elle. Mais le gens qui, justement, l'envoyait boulée, sa la faisait marrée, elle aimait bien ça. Sa pouvait toujours être drôle, des fois...Elle éclata de rire et lui répondit:

-Ecoute le comique, la prochaine fois que tu voudras faire le baby-sitter, choisit bien ta proie, j'ai l'impression que tu t'es planté et venant "m'aider"

Elle lui lança un regard mauvais, pour lui prouver qu'elle ne prenait pas non plus tout à la rigolade et croisa les bras. Alors, c'était qui, le plus casse-pied des deux?

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Après lui avoir dit ma fameuse phrase avec ses 4 vérités, Alyssa ricana. Wow … Qu’est-ce que c’était marrant… Non mais franchement je ne voyais absolument pas ce qu’il y avait de marrant la dedans… Je levais les sourcils en faisant un « non » de la tête comme pour faire genre de dire « Mais qu’est-ce que tu me fais peine … ». Elle finit quand même par arrêter avec son rire idiot pour me dire :

-Ecoute le comique, la prochaine fois que tu voudras faire le baby-sitter, choisit bien ta proie, j'ai l'impression que tu t'es planté et venant "m'aider"

J’émis un petit sourire en ne levant qu’un seul sourcil. Puis, je laissai alors échapper des pouffements de rire de ma bouche. Je ne sais pas pour qui elle se prenait mais il était sure qu’elle avait un sérieux problème avec moi et cela risquait de ne pas le faire du tout avec moi.

« Crois-tu vraiment que tu m’impressionne ? Une petite gamine de je ne sais quel âge vient me dire ça et… tu crois vraiment que je ne suis pas mort de rire face à ça ? C’est quoi ton problème avec moi espèce de petite môme sans cervelle… »

Je fronçais les sourcils. Puis, je glissais mes mains dans mes poches. Un paquet de chewing gum s’y trouvait. Je le sortis de ma poche et en mit un dans ma bouche. Je me levais et me baissa vers Alyssa, toujours mes mains dans mes poches lui mâchouillant à la figure. Je lui mis de même une petite pichenette sur le front, plus précisément, entre les deux yeux. Je me relevais, la regardant d’un air provocateur en souriant… Si elle me cherchait, elle allait me trouver…

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Michaël ricana, ou plûtot pouffa. C ne plus pas trop à Alyssa, mais elle sourit, comme si elle trouvait sa drôle. Il était ridiculement ridicule...

-Crois-tu vraiment que tu m’impressionne ? Une petite gamine de je ne sais quel âge vient me dire ça et… tu crois vraiment que je ne suis pas mort de rire face à ça ? C’est quoi ton problème avec moi espèce de petite môme sans cervelle…

Il regarda narquoisement Alyssa et mit ses mains dans se poches. Quel...Alyssa se retint de lui balancé une série d'insultes et une paire de claque dans la figure. Sa la démangeait mais quelque chose la retint. Il sortit un paquet de chewing gum et en prit un. Il le machouilla juste devant elle, lui crachant dessus au passage. Alyssa essya sa d'un revers de la main. Sa tête était toute rouge, elle avait les yeux éxorbités et son petit côté chipie était complétement disparue. Elle ressemblait plus à un monstre maintenant. Ou a une tomate...

Elle le regarda droit dans les yeux et lui dit d'un ton calme:

-De un, je ne cher che pas un t'impressionné, de deux je ne suis pas une petite gamine, de trois si tu rigole pour un rien, c'est ton problème, de quatre, je n'ai aucun problème mais j'ai une cervelle...elle fit une pose, un immence sourire se désinant sur son visage et elle dit d'une voix siflotante: et enfin de cinq...celle la, tu la bien mérité.

Et elle lui foutut une claque. Depuis tout à l'heure elle se retenait, mais la, elle en pouvait plus! Bien fait!

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Alyssa avait une mine désastreuse. Et à vrai dire, je n’en avais strictement rien à faire. Là, elle m’avait plus que cherché. Je n’avais plus du tout envie c’est sympa. Là, oui ma bonne humeur avait… Comme par hasard disparut. Elle me dit :

-De un, je ne cherche pas un t'impressionné, de deux je ne suis pas une petite gamine, de trois si tu rigole pour un rien, c'est ton problème, de quatre, je n'ai aucun problème mais j'ai une cervelle...elle fit une pose, un immense sourire se dessinant sur son visage et elle dit d'une voix sifflotant: et enfin de cinq...celle la, tu la bien mérité.

Elle me mit une claque… Je mis ma main sur ma joue en la regardant. Un petit sourire, comme un début d’un grand fou rire que j’essayais de retenir se dessinais à mon tour sur mon visage. Mais justement, je ne pus le retenir encore longtemps. J’explosais de rire. J’en étais tellement amusé de sa réaction que je me penchais presque en avant ayant déjà mal aux abdos vu la claque minuscule et ridicule qu’elle venait de me faire part.

« Tu es décidemment bien plus drôle que je ne le pensais ! C’est incroyable ce que tu peux être bête ! Encore aucune fille ne m’avait fais ça. Mais c’est bien… pour une raison tu ne crois pas ? Après tout… Il y a une première fois à tout. »

Un énorme sourire se traçait sur mon visage, laissant apparaître mes dents blanches. Il ne fallait tout de même pas oublier qu’elle venait de gifler Michaël Smith, un des « Bad boy » du pensionnat. Et ça, même si ça m’amusais, je ne voulais pas laisser passer. Ce n’est pas elle qui va commencer à faire ses lois ici. De toute manière, cela allait encore plus m’amuser le fait que je me défende sur elle… Je la pris brusquement par le col, et la plaqua violemment contre le mur. Ses pieds ne touchaient presque plus le sol, et personnellement, moi je ne sentais rien. Je mettais ma jambe en travers de celles d’Alyssa, pour ne pas avoir à faire à des coups de pieds. De mon autre main que celle ou je l’avais attrapée par le col, je pris également le sienne, pour ne pas qu’elle puisse s’en servir et que maintenant, je sois complètement tranquille, et je puisse faire mon boulot tranquillement. J’approchais mon visage du siens, pour bien qu’elle entende ce que j’avais à lui dire. Je lui dis donc clairement :

« Bon. Alors on va terminer ce petit jeu une bonne fois pour toute. Je crois que toi aussi tu devrais mieux choisir tes proies. Tu me pousse à bout, je me défends, c’est normal. Mais moi je ne suis pas un petit gentil élève bien élevé, et avec jamais d’heure de colle. Je suis ce qu’on appelle un délinquant. Un Bad boy. » Je m’arrêtais quelques seconde pour la soulever un peu plus et la laisser tomber comme une vielle chaussette délavée. « La prochaine fois crois moi que ce seras tellement pire… »

Je jetais un cracha sur elle comme pour marquer mon territoire. Je m’éloignais d’elle en la regardant méchamment, et d’un air arrogant. Il n’y avait plus un seul bruit. Je me retournais, et vis toute la population devant en train de me regarder moi. Je n’aimais pas ça, et je voulais que ça cesse.

« QUOI ?! Qu’est-ce que vous regardez comme ça ? »

Je leurs criais ça en fronçant les sourcils, et, tout de suite tout le monde se remirent à parler entre eux, comme si de rien n’était. Je me retournais, et regardais Alyssa toujours au sol, avec mon air vraiment pas attendrissant. Je croisais les bras, et attendais de voir une rébellion allais se produire contre moi. Mais si c’était le cas, elle pouvait être certaine que ce sera bien pire et douloureux que ce que je viens de lui faire…

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[désolé, j'avais pas vut que tu avais répondut! Franchement, excuse moi!!]

Il main sa main sur sa joue mais ne semblait pas avoir mal. Alyssa s'en fichait. Ce n'était pas le but. Il la regarda puis un début de sourire se dessina sur son visage. Allons bon, voilà qu'il était content maintenant. Alyssa se renfrogna, pestant contre sa faiblesse par rapport à la force du garçon. Il éclata de rire, ne pouvant se retenir. Un bon gros fou rire qu'il avait retenut trop longtemps éclata. A force de rigoler comme sa, il devait avoir mal au ventre et à l'estomac,le coco!

-Tu es décidemment bien plus drôle que je ne le pensais ! C’est incroyable ce que tu peux être bête ! Encore aucune fille ne m’avait fais ça. Mais c’est bien… pour une raison tu ne crois pas ? Après tout… Il y a une première fois à tout.

Alyssa ocha la tête C'est tout, il le prenait comme sa? Mais quand Michaël la prit par le col et la plaqua contre le mu, elle comprit qu'il ne rigolait plus. Oups, aurait elle fait une gaffe? Mais en fait, elle sourit. Oui elle avait enfin fait sortir de ses gongs Michaël, qui était rester trop longtemps calme à son goût. Alyssa qui était largement plus petite que lui quitta le sol et ses pieds se balançait dans le vide. Mais c'est qu'il est musclé en plus, le baby-sitter! Un vrai garçon à tout faire! La Mairie devrait l'employé en tout que jardinier, ou cantinier! Oui, cantinier sa serait marrant!
Le cantinier calla sa jambe pour ne pas qu'Alyssa ne donne de coup de pieds. Mais c'était inutile, Alyssa ne voulait pas se battre ni se défendre. Elle s'avait que Mchaël n'allait pas faire grand chose. Du moins pour l'instant...Il faudrait qu'Alyssa continut de l'énervé un peut et la fête pourra commencer! En attendant le gand bal, Michaël approcha son visage d'Alyssa et lui dit:

-Bon. Alors on va terminer ce petit jeu une bonne fois pour toute. Je crois que toi aussi tu devrais mieux choisir tes proies. Tu me pousse à bout, je me défends, c’est normal. Mais moi je ne suis pas un petit gentil élève bien élevé, et avec jamais d’heure de colle. Je suis ce qu’on appelle un délinquant. Un Bad boy.

Alyssa pouffadiscrétment et hoqueta. Lui, un Bad Boy. En voilà une nouvelle!

Il la souleva encore plus, e celui lui rappa la tête. Ce n'était pas rès agréable et l'ambiance devenait pesante. Cela commençait à être moins drôle aux yeux d'Alyssa, mais évidament Nounou-Michaël,lui, s'eclatait. Il laissa retombée Alyssa.

La prochaine fois crois moi que ce seras tellement pire…

Pire? Pffff, laisse moi rire. Alyssa se plaqua contre le mur, se demandant ce qu'il allait encore lui tombé dessus. Et justement, un cracha dégoutant, gluant, répugant lui arrivat sur le visage. Non mais il était malade ce mec! Alyssa en avait plus que marre. Jusque là, elle avait été gentille, elle l'avait juste éhauffé pour voire juqu'ou il pouvait aller mais jamais, jamais elle ne l'avait humilier. Et l'humiliation, elle ne tolérais pas!

- QUOI ?! Qu’est-ce que vous regardez comme ça ?cria le "Bad Boy" à la foule de lycéens aglutiner devant eux. Quel idiot ce gars quand même.

Elle enleva d'un revers de la main la crahca verdâtre et se dirigea vers Michaël dun pas décider. Elle essuya sa main sur lui puis le regarda droit dans les yeux.

-Alors c'est tout? C'est tout ce que tu sais faire? Cracher sur les gens, les insulter? Tu me déçois. Je t'imaginais plus....Bad Boy comme tu dis. En fait t'es qu'un lâche que se la joue...Tu ne tape pas, tu neblesse pas t'es victime, tu les humilie simplment, en eur lanssan un misérable cracha? Et ben, joli technique! Je pourrais pas faire mieux mon gros!

La dernière phrase était sortit toute seule, et elle était un peu en trop. "Mon gros" .Mais qu'est ce qu'il lui avait prit de dire "mon gros". C'était absurde! Mais Alyssa s'en fichait. Elle tourna la talons puis fit un demi tour et ajouta:

-Au fait, je déteste les Bad Boy et le gens qui ne save régler leuraffaire qu'avec leurs poins ou...leur cracha.

Puis elle prit son sac et s'enfuit en courant. Elle en avait mar decette journée pourrit. Elle n'irait pas dans ce lycée. Si tout le monde était comme Michaël, des gens imbus d'eux même, bonjour la galère. Mais si sa mère l'apprenait...elle ne préfèrait ne pas y penser. Elle s'arrêta à l'angle du lycée et posa son sac. Pourvu que l'autre lourdigue lui fiche la paix...

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-Alors c'est tout? C'est tout ce que tu sais faire? Cracher sur les gens, les insulter? Tu me déçois. Je t'imaginais plus....Bad Boy comme tu dis. En fait t'es qu'un lâche que se la joue...Tu ne tape pas, tu ne blesse pas t'es victime, tu les humilie simplement, en leur laissant un misérable cracha? Et ben, joli technique! Je ne pourrais pas faire mieux mon gros!

C’est ce qu’elle me dit. J'haussais les sourcils en souriant. Ce qu’elle disait était tout à fait insensé. Un Bad boy ne cherche pas à comprendre, si il faut passer à l’acte il passe à l’acte. Et c’est justement ce que j’ai fais. Elle parle mais pour rien dire, car en fait, elle ne sait absolument pas de quoi elle parle, et cela avait réellement le don de me faire rire. Les deux derniers me faisais sourire de plus belle. Mon gros ? Je n’avais pas l’impression d’être aussi gros, mais si elle le disait…

-Au fait, je déteste les Bad Boy et le gens qui ne savent régler leurs affaires qu'avec leurs poings ou...leur cracha.

Encore une fois complètement ridicule. Elle venait de me dire le contraire … Je cite : “ Tu ne tape pas, tu ne blesse pas t'es victime, tu les humilie simplement, en leur laissant un misérable cracha? “ Et maintenant elle me sort qu’elle déteste “les gens qui ne savent régler leurs affaires qu'avec leurs poings ou...leur cracha. “ Finalement, si elle était intelligente, elle aurait au moin dit quelque chose de sensé. Mais non. Elle était surement incapable.

Je la vit ensuite s’enfuir en posant son sac à l’angle du bâtiment. Je fis un non de la tête, le sourire aux lèvres la regardant s’éloigner. Je précipitais l’endroit auquel elle avait commencée à s’enfuir. Elle était encore assez proche pour qu’elle entende la phrase que je voulais lui lancer. Et j’en étais sur qu’elle l’avait entendue.

« Tes phrases ne tiennent pas debout ! Si tu avais un minimum de jugeote, tu saurais ce que tu dis ! Si tu veux partir, pars, mais ce n’est pas à cause de moi car c’est TOI et rien que TOI qui commence à chercher ! Je n’ai fais que répondre ! »

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-Tes phrases ne tiennent pas debout ! Si tu avais un minimum de jugeote, tu saurais ce que tu dis ! Si tu veux partir, pars, mais ce n’est pas à cause de moi car c’est TOI et rien que TOI qui commence à chercher ! Je n’ai fais que répondre !

Alyssa tourna la tête et sentit ses poings se serrer. Elle bouillait. A ce moment précis, elle aurait aimer lui aplatir se fasse sur le goudron chauffer par le soleil,puis lui donner de coups de pieds, lui cracher dessus, le rididuliser, le faire souffrir. Oui elle disait n'importe quoi, oui elle cherchait. Et alors? Ell étai énervée. Elle en avait marre. Il ne savait pas ce qu'elle avait vécue. Oui elle ne avait marre...marre d lui, de se lycée, de sa famille...de tout...marre de tout. Franchement, est ce que se pseudos Bad-Boy pouvait pas la laisser trnasuille maintenant. Il l'avait assez ridiculiser non? Apparamant pas assez. Quel idiot ce mec. Un petit idiot que se dit Bad-Boy. Bonne blague. En plus, il parlait comme les vieux. "Jugeote". D'où qu'il sortait sa. De la préhistoire? Même ses grands-parents ne deaient plus dire sa...

Alyssa soupirat et de mauvaise grâce se dirigea vers lui. Son sourire sarcastique, moquer et provocateur avait disparut. Elle reahrda droit dans les yeux Michaël et lui dit froidement, comme sa mère le faisait:

-Ecoute, que toi tu es rater ta vie et que tu fasse chie* tout le monde pour sa, c'est ton problème. Mais moi tu voit, je rentre pas dans ton petit jeu de pauvre débile. Et ça, ça te mais la rage alors tu viens m'humilier. Mais sa marche pas non plus. Domage...Donc maintenant tu vas gentiment faire joujou avec un autre souffre douleur. Et pas la peine de me dire que je suis pathétique. Je peut me faire ma propre opinion de moi. Ok? Merci

Son sourire charmeur revient et elle donna une claque amicale, qui était une sorte d'ironie. Elle partit en saluant de la main Michaël.

Ouff, l'autre allait enfin la lacher...

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Alyssa se retourna. Elle avait l’air vraiment crispée. C’était tans mieux, j’avais raison et je suis sure qu’elle le savait. Ou du moin, elle ne voulait pas l’admettre. N’empêche que c’est fou comme les gens peuvent être stupides. Enfin, c’est surement les petite gamines de ce genre qui finiront par ce rendre compte qu’elles ne sont que des petites fifilles qui essayent de se rendre intelligente ou bien supérieure alors qu’en fait, elles n’ont pas un seul brin de intelligence, et ne seront JAMAIS supérieurs. C’est exactement ce que je pensais d’Alyssa. Franchement, honnêtement c’était la première fois que je rencontrais une fille aussi… Stupide ? Cela me faisait finalement plus rire qu’autre chose.

Elle arriva donc vers moi. Elle avait un air sérieux ; quand à moi, j’avais toujours le sourire aux lèvres, toujours convaincu qu’elle me sortirait encore quelque chose de vraiment nul.

-Écoute, que toi tu es rater ta vie et que tu fasses chie* tout le monde pour sa, c'est ton problème. Mais moi tu vois, je ne rentre pas dans ton petit jeu de pauvre débile. Et ça, ça te mais la rage alors tu viens m'humilier. Mais sa marche pas non plus. Dommage...Donc maintenant tu vas gentiment faire joujou avec un autre souffre douleur. Et pas la peine de me dire que je suis pathétique. Je peux me faire ma propre opinion de moi. Ok? Merci

Eh bien voilà. J’avais encore raison. Une fois de plus, elle venait de dire n’importe quoi. Je l’avais bien écoutée mais en fait, ce qu’elle disait m’intéressais tellement peu que simplement 2 secondes après j’avais déjà oublié ce qu’elle venait de dire. Elle me sourit, en me donnant une petite claque. Je ne le pris pas mal mais une fois enlevée, j’essuyais d’un petit revers de manche l’endroit où elle avait posée sa main. Plus elle faisait quelque chose, plus le sourire me montais. Elle finit par me faire un petit signe de main. Cette fois c’était trop… Trop marrant, je ne pus m’empêcher d’éclater bel et bien de rire. Je riais tellement fort, que même si elle était déjà à l’autre bout de la rue elle aurait put entendre mon rire. Non franchement, elle devrait vraiment faire des petits numéros cirque celle là, parce que dès qu’elle bouge ou fais quelque chose, c’est trop marrant. Mais bon… Stupide un jour, stupide toujours…

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Alyss marchait tranquillment. Si l'idiot derrière sortait une autre seplique débile, inutile ou quoi que se soit, elle le défonssait. Elle n'avait peut être pas l'air comme ça, mais elle savait se défendre. Enfin contre lui, peut être pas mais...elle essayerait.

Elle entendit son gros rire, un rire gras en sonore, un rire que tout le monde entendait, un rire de débile quoi...
Alyssa savait déja pour quoi il rigolait. A chaque fois qu'elle disait quelque chose, qu'elle faisait quoi que ce soit, il s'amusait a faire comme si cette chose était terriblement stupide, pathétique, énervante, amusante ou je ne sais quoi. Bref il s'amusait à énervé encore Alyssa. Mais Alyssa c'état juré de se calmer et de ne plus parler à la nounou qui se la jouait Bad Boy. C'étai peut être ce qu'il ya ade mieux à faire? C'était son premier jour. Elle ne connaissait personne, personne la connaissait. Elle n'avait pas la réputation, comme Michaël lui l'avait. Sa faisait donc un point en sa faveur à lui. Mais attend donc, monsieur la nourice, qu'Alyssa se fasse remarquée. Quand les compteurs seront à égalité, la manche sera plus dur.

Alyssa se contenta de hausser les épaule se même se retournée. Michaël trouvait tout ce qu'elle fasait hilarant? Bah le spectacle de clown est terminé, dommage pour le petit gamin idiot...

Alyssa en avait drolement marre. Pourquoi cet abruti l'avait choisit elle. C'était pas son genre de renoncer, mais la sur le coup, Alyssa ne savait pas ce qu'il fallait faire. Ne rie dire, comme font le faible, ou bien continuer, se faire humilier par la nounou et finalement être ridicule...Ouai, Alyssa préférait lansser un dernier affront, pas trop fort et partir tranquillement. Elle se retourna et lui lanssa:

-C'est bon, ta bien rigoler, tu vas me laisser tranquille maintenant?

Alyssa soupira. Elle était sur que l'idiot de service allai encore rigoler ou la trouver débile, mais il fallait toujours qu'elle ressorte une anerie...c'était Alyssa. Avoir toujours le dernier mot, coute que coute.

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-C'est bon, ta bien rigoler, tu vas me laisser tranquille maintenant?

Me dit-elle, tandis que moi, je continuais de rigoler. Mais qu’est-ce qu’elle me voulait l’autre encore ? Je l’avais lâché moi, c’est elle qui revient vers moi ! Et après c’est ma faute ! Nan mais franchement la on aura tout vu.

« Ben écoute, moi je n’ai fais que rire à tes conner*es, maintenant, c’est toi qui revient me parler. Aïe aïe aïe. C’est dur d’être stupide, n’est-ce pas ? »

Toujours en pouffant de rire, je me dirigeais vers le bâtiment. Non, je n’arrivais vraiment pas à la cerner. Elle parlait, et Bla Bla Bla, mais qu’est-ce qu’elle pouvait ce rendre ridicule toute seule… Elle était mille fois plus marrante que les humoristes. Je n’arrivais décidément pas à m’arrêter de rire, tandis que j’étais rentré dans le pensionnat. Je jetais un coup d’œil à la grosse pendule qui se trouvait au dessus du comptoir d’accueil. 1heure était passé. 1heure que j’étais resté avec elle. Eh bah, je ne sais pas vraiment comment j’avais fait. Mais tout ce que je sais, c’est que si jamais elle revenais encore me chercher, là, c’était sur, les heures de colles seraient pour nous deux…